La controverse autour de la chanson « Bad Religion »
RM, membre de BTS, s’est retrouvé au cœur d’une controverse plus tôt ce mois-ci après avoir partagé un lien Spotify vers la chanson « Bad Religion » de Frank Ocean sur sa story Instagram.
Cette chanson en particulier a suscité un débat houleux en raison de ses paroles controversées et de son potentiel caractère islamophobe.
Après que RM a partagé la chanson sur ses réseaux sociaux, certains l’ont accusé d’être « islamophobe ». Ces internautes ont afflué sur le compte Instagram de RM pour laisser des commentaires malveillants concernant sa publication et ont constamment diffamé l’idole pour sa décision de partager la chanson.
La clarification de RM et son refus de s’excuser
Face à la montée de la colère sur internet, RM a choisi de confronter la controverse en animant une diffusion en direct sur Weverse le 30 août. Il a tenu à clarifier la situation en déclarant : « Je sais de quoi vous parlez, et vous continuez de me dire que j’ai insulté une religion. Ce n’était pas le cas. Il n’y avait aucune intention ni aucun objectif d’insulter une religion. Je respecte chaque croyance et religion. C’est tout ce que je peux dire. S’il vous plaît, je sais ce qui se passe sur mon Instagram, je peux voir. »
Il a poursuivi en expliquant : « Mais je n’ai jamais eu une telle intention. Je n’avais même pas 1 % de mon cœur pour insulter une religion. C’est une chanson. Je ne m’excuse pas. Je dis simplement. J’ai mon propre esprit, j’ai 30 ans. Je peux exprimer mes vraies pensées. S’il vous plaît, ces mots sont des mots, c’est ce que c’est. Croyez en mes paroles venant de moi-même. Pas seulement en supposant, en prétendant, en supposant, d’accord ? »
La tentative de clarifier l’intention
Avec ces déclarations, RM a cherché à clarifier son intention derrière le partage de la chanson et à se défendre contre les accusations d’islamophobie. Sa position réaffirme son respect pour toutes les croyances et religions et met en avant son désir de s’exprimer librement sans intention offensante.
