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Membre rookie d’un girl group accuse le PDG de son agence de harcèlement sexuel : spéculations autour de Gaeun de MADEIN

News

23 novembre 2024

Une affaire choquante a éclaté dans l’industrie de la K-pop après qu’une membre d’un girl group rookie a accusé le PDG de son agence de harcèlement sexuel. Selon les spéculations, la jeune femme en question pourrait être Gaeun, membre du groupe multinational MADEIN.

Les accusations révélées par l’émission ‘Crime Chief’

Le 22 novembre, l’émission de JTBC Crime Chief a rapporté que la membre d’un girl group qui a débuté en septembre avait porté des accusations graves contre le cofondateur et PDG de son agence. Identifiée comme « A », la jeune femme aurait fait face à des avances inappropriées de la part du PDG après un incident survenu dans leur dortoir le 5 octobre, lorsque son petit ami était venu lui rendre visite.

Selon un enregistrement, le PDG aurait demandé à « A » de devenir sa « petite amie pour un jour ». Dans ce même enregistrement, « A » déclare : « J’ai demandé au PDG : “S’il vous plaît, laissez-moi quitter l’équipe après cette promotion. C’est tout ce que je souhaite.” Il a répondu : “Si j’exauce ton souhait, exauceras-tu le mien ? Mon souhait est que tu sois ma petite amie pour un jour.” »

Détails des allégations

« A » affirme que le PDG l’a embrassée de force, a tenté de l’embrasser avec sa langue, et l’a touchée de manière inappropriée pendant deux heures malgré ses refus répétés. Plus tard, en espérant pouvoir continuer sa carrière, elle a accepté une sortie avec le PDG, qu’elle pensait être innocente. Cependant, elle accuse ce dernier d’avoir verrouillé la porte de son bureau, de l’avoir agressée dans une salle de cinéma et de continuer ses gestes déplacés, même après ses protestations.

Réaction de l’agence

Un représentant légal de l’agence a défendu le PDG, affirmant que les interactions entre lui et « A » étaient consensuelles : « La membre a dit au PDG : “Si vous me laissez rester dans l’équipe, je serai votre petite amie pour un jour.” Il y a même des vidéos montrant leurs interactions, qui semblaient normales. »

Cependant, lors d’une réunion avec les parents des membres, le PDG a admis avoir fait une « erreur claire ». Face aux accusations de visites fréquentes à des films nocturnes avec « A », il a nié en bloc, affirmant que cela ne s’était produit qu’une seule fois.

Le PDG promet de se retirer, mais la controverse persiste

Bien qu’il ait initialement promis de démissionner et d’éviter tout contact avec les membres du groupe, le PDG a accompagné MADEIN lors d’un vol pour le Japon, s’asseyant à côté de « A ». Cet incident a profondément troublé la jeune femme, qui aurait tremblé de peur pendant tout le trajet.

Après cela, « A » a suspendu ses activités pour des raisons de santé. Pendant ce temps, le PDG aurait tenté de manipuler les autres membres, décrivant « A » comme l’agresseur et lui-même comme la victime. Il aurait également exercé des pressions en déclarant : « Si cela devient public et que l’entreprise subit des pertes, savez-vous combien vous devrez rembourser ? »

Réactions de « A » et des spéculations sur Gaeun

Les parents de « A » ont insisté sur la véracité des accusations et demandé au PDG de couper tous liens avec le groupe. Selon les spéculations, « A » pourrait être Gaeun, membre coréenne de MADEIN, née en 2005 et âgée de 18 ans au moment des faits allégués. Le 11 novembre, Gaeun a annoncé suspendre ses activités pour des raisons de santé.

Elle a également supprimé tous ses posts Instagram, a cessé de suivre l’agence et a retiré le nom du groupe de sa biographie, renforçant les suspicions.

MADEIN et l’avenir de l’agence

143 Entertainment, fondée en 2020 par le producteur et rappeur Digital Masta, gère MADEIN et iKON. Bien que l’agence n’ait pas encore fourni de résolution claire à cette controverse, elle fait face à des pressions croissantes pour répondre aux accusations.

Pendant ce temps, MADEIN continue de promouvoir leur premier EP Rise avec des activités en Corée et au Japon, malgré les incertitudes entourant le groupe.

Conclusion

Cette affaire met en lumière des problématiques récurrentes dans l’industrie du divertissement, notamment les abus de pouvoir et la vulnérabilité des jeunes artistes. La communauté K-pop suit de près les développements, espérant des mesures justes et une meilleure protection pour les artistes dans le futur.

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