Les Révélations Choc sur Min Hee Jin
La PDG de ADOR, Min Hee Jin, est au centre d’une polémique après la fuite de ses messages privés sur KakaoTalk par Dispatch. Ces messages révèlent des accusations selon lesquelles Min Hee Jin aurait consulté une chaman pour prendre des décisions concernant la sélection des membres de son groupe.
Accusations de Manque de Confiance
Min Hee Jin est accusée de violation de confiance, partageant des informations privées de l’entreprise avec la chaman. Cependant, Min Hee Jin a soutenu que la chaman, connue sous le nom de « Jiyeongnim0814 » et identifiée comme Mme Lee, n’était qu’une « simple connaissance ». Depuis, Min Hee Jin et Mme Lee sont restées silencieuses sur la question, et Mme Lee a disparu de la vie publique.
Visite du Sanctuaire de la Chaman
Le 26 juillet après-midi, le média TV Daily s’est rendu à l’emplacement où Mme Lee exerçait ses activités, le sanctuaire M, situé à H Villa, Yeoksam-dong, Gangnam-gu, Séoul. Cependant, Mme Lee avait déjà quitté les lieux, et toutes les tentatives pour la joindre via ses numéros de téléphone enregistrés ont échoué.
Nouveau Gestionnaire du Sanctuaire
Le sanctuaire est désormais géré sous un autre nom par un autre chaman, identifié comme H. Lorsqu’on l’a approché, H a ouvert la porte avec prudence et a répondu aux questions avec un regard méfiant. L’intérieur ressemblait à un lieu de voyance typique, bien qu’il n’y ait aucune enseigne indiquant une activité commerciale à l’entrée. En réponse aux questions sur sa relation avec la PDG Min Hee Jin, H a clarifié :
« Je n’ai aucune relation avec elle et je ne suis pas le chaman mentionné. »
H a ajouté :
« Je gère cet endroit en tant que sanctuaire OO depuis janvier de cette année. Je ne sais pas grand-chose sur le précédent locataire, » prenant ses distances avec la controverse actuelle.
Conclusion
La disparition de Mme Lee et les allégations entourant Min Hee Jin ont suscité un vif intérêt médiatique. Cette affaire met en lumière les pratiques inhabituelles et controversées au sein de certaines entreprises, soulevant des questions sur l’intégrité et la transparence dans la gestion des artistes. Les réactions du public et des médias continueront d’évoluer à mesure que de nouveaux détails émergeront.
