Tout l’attention est désormais concentrée sur le différend entre HYBE et ADOR.
Le 23 avril, le média Issue Check a rapporté que la PDG Min Hee Jin avait envoyé un e-mail de plainte officiel à HYBE la semaine dernière. Selon les investigations d’Issue Check, l’e-mail contenait des informations selon lesquelles « NewJeans subit des dommages en raison du plagiat de concept d’ILLIT » et « HYBE traite mal NewJeans« . Ce qui est remarquable, c’est que l’e-mail a été partagé non seulement avec NewJeans mais aussi avec les parents des membres de NewJeans.
Cependant, HYBE soupçonne que la PDG Min Hee Jin planifiait déjà de prendre en charge la gestion indépendamment de la question du plagiat d’ILLIT, avec des intentions datant de fin 2023 à début 2024. HYBE estime que l’e-mail de plainte officielle envoyé par Min avant l’audit était une manoeuvre stratégique pour se préparer à cette indépendance. La participation à la fois de NewJeans et de leurs parents renforce davantage ce prétexte.
Suite au rapport, les internautes coréens doutent des affirmations de Min Hee Jin selon lesquelles NewJeans aurait été maltraité par HYBE. Ils soutiennent que le groupe a reçu un meilleur traitement que la plupart des autres idoles de l’industrie.
Analyse des allégations et des réactions
L’affaire soulève des questions sur la crédibilité des allégations de Min Hee Jin et met en lumière les suspicions de HYBE quant à ses motivations. La participation des parents des membres de NewJeans suggère une tentative de mobilisation de soutien et peut être interprétée comme une stratégie pour renforcer les accusations contre HYBE.
Quant à la réaction des internautes coréens, elle témoigne d’un certain scepticisme à l’égard des affirmations de Min Hee Jin. Cette remise en question souligne l’importance de l’examen critique des informations rapportées dans les médias et des différentes perspectives sur les événements en cours.
Impact sur l’industrie du divertissement
Cette affaire pourrait avoir des répercussions importantes sur l’industrie du divertissement coréenne, en particulier en ce qui concerne les relations entre les agences de divertissement et leurs artistes. Les différends publics entre les grandes entreprises telles que HYBE et ADOR pourraient influencer les pratiques commerciales et les normes de traitement des artistes à l’avenir.
Conclusion
L’affaire entre HYBE et ADOR continue de susciter des interrogations et des débats au sein de l’industrie du divertissement coréenne. Il est essentiel de suivre de près les développements de cette affaire et d’examiner attentivement les preuves et les réponses des parties impliquées pour comprendre pleinement les enjeux en jeu.