L’ancienne membre du groupe DIA, Somyi, a été condamnée à une peine de prison ferme d’un an et demi pour avoir porté de fausses accusations d’agression sexuelle contre le PDG de son agence. Cette affaire, qui avait fait grand bruit à la fin de l’année 2023, a finalement abouti à un verdict sans appel.
Retour sur l’Affaire
Initialement, Somyi avait porté plainte contre le PDG de son agence, affirmant qu’il avait tenté de la violer en janvier 2023. Cependant, la plainte avait été rejetée faute de preuves suffisantes. Somyi avait alors fait appel, déclenchant ainsi une nouvelle enquête.
Nouvelles Révélations
Lors de cette nouvelle enquête, la police a mis la main sur des vidéos de surveillance contredisant les déclarations de Somyi. Ces vidéos montraient des interactions entre Somyi et le PDG qui ne correspondaient pas au récit de l’ancienne idol. En effet, au lieu de fuir une agression présumée, Somyi semblait engager des conversations calmes avec le PDG et même l’enlacer à certains moments.
Verdict et Condamnation
Face à ces éléments, la Cour de Séoul a rendu son verdict le 21 mars dernier, condamnant Somyi à une peine de prison ferme d’un an et demi. Le tribunal a souligné le manque de cohérence dans les déclarations de Somyi ainsi que l’incompatibilité avec les preuves fournies par les vidéos de surveillance.
Conséquences et Réactions
Suite au verdict, Somyi a été immédiatement placée en détention. Le tribunal a également souligné la gravité des fausses accusations, soulignant qu’elles peuvent entraîner des sanctions injustes pour la partie accusée.
Conclusion
Cette affaire met en lumière les conséquences dévastatrices des fausses accusations et souligne l’importance de la vérification des faits et de l’intégrité dans le système judiciaire. Elle constitue également un rappel de l’importance de la présomption d’innocence et de la recherche de la vérité dans toute procédure judiciaire.